La journée s annonce agréable et douce si bien que les participants sont nombreux(45 personnes)au rendez vous.
 
Avec Alain nous décidons de faire deux groupes pour le confort de tout le monde. Nous partons à quelques minutes d intervalle direction le haut du village de Boussières pour emprunter le parcours de santé qui nous conduit à une combe puis remontons et prenons un sous bois dans la pente qui s élève gentiment pour arriver sur une voie romaine, passons devant le monument de Vorges  pour rejoindre la ligne de crête du bois de la Taille puis celle de Chantelibas dominant la vallée de la Loue pour redescendre dans un pré pour la pause déjeuner.
 
Nous reprenons notre parcours et nous nous retrouvons sur la crête d Abbans-Dessus que nous longeons avec de très belles vues et redescendons pour rejoindre les voitures.
 
Merci à toutes et à tous pour votre participation, merci à Alain et aux animateurs de la Rsbt.
 
Dist :15,5kms
 
Déni:440m
 
Jean-Pierre
Boussières - 6 novembre
Nous partons à 18 dont 4 "mâles" depuis le parking poids lourds de la RN 83 embranchement Chenecey. Nous descendons jusqu'à la Loue, passons devant la stration de pompage d'eau qui alimente l'agglo de Besançon pour bonne partie (l'autre étant vers Vaire!) Nous cheminons ainsi sur 3 km profitant de la douce chaleur du soleil de novembre qui fait du bien à nos (presque) vieux os! Arrivés sur Chenecey, nous traversons le chantier en cours au niveau de l'église,poursuivons en passant devant le restaurant puis nous engageons en direction des Forges. Nous étions dans le doute quant à la praticabilité du terrain champêtre , inondé ou non ? car lundi 3/11 on aurait presque pratiqué du paddle ! Nous maintenons le plan initial, pas besoin de déclencher le plan AU SEC !
Au pied des Forges, changement de relief et c'est sur 3 km que nous nous engageons façon grimpette mais tout en douceur ! Des panneaux pédagogiques nous expliquent le terrain, l'activité passée...et c'est l'arrivée au belvédère , point culminant de notre randonnée d'où nous embrassons une superbe vue à 180° sur le méandre de la Loue
Petite restauration, photos...et on amorce la descente sur 3 km qui nous ramène jusqu'aux voitures, non sans oublier de récupérer au fur et à mesure de notre trajet les repères de tissu que nous avions disposés Lucie et moi, aux carrefours des chemins au cours de la reconnaissance que nous avions faite et au cours de laquelle nous nous étions égarés !!!
En résumé, 3 tronçons de 3 km soit 9 km; 18 partants, 18 arrivants,un beau point de vue, de la douceur, une superbe lumière, de la bonne humeur,pas de chute ni glissade, un super serre fil en la personne de Patrick et une grande satisfaction de l'ensemble du groupe .
 
Que demander de plus ? Ah oui, le dénivelé ? 160 mètres !!!
 
Christian H.
Chenecey - 6 novembre
L‌e soleil est enfin de retour pour admirer les couleurs d'automne et c'est à Liesle que les 28 randonneurs du jour se sont retrouvés pour en profiter. Départ de la gare pour certains, du parking du cimetière pour le plus grand nombre.
Les 200m de dénivelé annoncés sont bien présents dès le départ et il faudra attendre d'être arrivés à la crête qui surplombe la vue sur la Loue pour retrouver du plat. Comme annoncé les chemins sont bien humides mais non boueux et c'est les pieds secs que nous arrivons au belvédère  de la vierge qui veille sur le village de Buffard.
La redescente vers Liesle est plus périlleuse car pour éviter la route goudronnée j'ai privilégié un parcours un peu moins dégagé. Mais après 400m de hors piste nous retrouvons un chemin propre qui nous permet de rejoindre, après 9 km, la gare et notre point de départ.
 
Merci à Martine pour les photos et le rôle de serre-file.
 
Patrick
Liesle - 3 novembre
Enfin une sortie non annulée et sans pluie.
Intitulée entre bois et vignes, nous partons du village des Arsures et montons directement à travers les vignes pour atteindre la voie ferrée Mouchard Champagnole que nous longerons et traverserons quatre fois dans la journée. A deux kilomètres du départ deuxième montée avant la suivante plus difficile quelques centaines de mètres plus loin, où nous traînerons nos chaussures dans un tapis de feuilles mortes et colorées, comme à l' époque de notre enfance pour aller à l' école. Au sommet après avoir longé la crête et évité quelques flaques d' eau nous arrivons devant un bois privé et interdit, que nous allons devoir contourner en rusant.
Les estomacs se nouent, midi sonne et encore une dernière grimpette et une petite cueillette de champignons avant d' atteindre notre coin repas bien mérité.
Après une heure de pause, nous repartons en descendant direction de Montigny les Arsures, que nous traversons une première fois pour retrouver les vignes et atteindre la tour du Zouave Coco point culminant sur les parcelles d' une délicieuse boisson appelée vin.
Nous retraversons à nouveau Montigny tout en admirant ces belles maisons et remontons direction le viaduc sans oublier de traverser le gué de la Larine.
Un dernier effort pour longer à nouveau la voie ferrée, la traverser par dessous en passant un petit tunnel étroit qui nous amène sur un chemin propre et descendant à notre point de départ, avec une dernière vue dégagée même sur la Bourgogne.
Dommage cette randonnée aurait méritée d' être faite 15 jours plus tôt et avec un peu plus de soleil.
Merci à tous pour votre bonne humeur et aux différents serre-files.
19 participants pour 15,5 km et environ 450 m de dénivelé.
 
Thierry
Les Arsures - 30 octobre
C'est par un beau matin d'automne que les 15 randonneurs s'élancent le long du Doubs depuis la célèbre gare des Longevilles . Célèbre pour ses bus qui vous amènent à Frasne pour prendre le TGV !
 
Puis nous longeons le Doubs et entrons dans le gorges par un petit chemin forestier au bord du Doubs .Après un petit passage acrobatique, nous arrivons sur un chemin qui passe au dessus du barrage du Fourperet .
Puis nous arrivons sur une crête qui nous offre la vue sur la lac de Remoray et entamons la descente vers Labergement Sainte Marie . nous arrivons au bord du lac ou j'ai proposé une petite baignade mas sans grand succès au vu de la température .Direction le belvédère des deux lacs pour un pique-nique bienvenu.
Sous le soleil nous continuons notre balade en descendant au village du Brey , enjambons le ruisseau du Lhaut et remontons e massif du mont de la croix pour redescendre sur Rochejean célèbre pour les débuts à ski de Lizzie !
 
Et retour à la gare .
 
Merci à tous pour votre agréable compagnie
Lizzie
Gorges du Fourperet - 16 octobre
23 au départ pour un parcours de 11 Km et 300m de dénivelé. Entre Tarcenay et Foucherans, les prairies à l’ombre étaient couvertes de givre, au fond des creux, des restes de brume tentaient de survivre au soleil qui déjà faisait rougeoyer la forêt. Pas de doute, l’automne est bien là en ce beau mois d’octobre.  Il est passé 9H00 quand le groupe quitte le parking de l’église. Ici et là, il y a des bonnets et des gants, il fait objectivement froid. Le charmant lavoir du village, si bien restauré jalonne notre chemin vers la chapelle St-Maximin. Plantée sur le haut de la côte elle se réchauffe au soleil. Les promesses du sacristain de la paroisse des trois Monts sont tenues, la porte est ouverte, nous y chanterons. Car c’est bien la mission que nous nous sommes donnés, marcher et chanter. Chanter, est une activité physique à part entière, nous en ferons une expérience singulière et collective. Je fais court, Jojo, Marie-Pierre et moi avons préparé 7 chants dont quelques canons, « simples », trois lieux couverts ont été réservé pour les travailler. Je peux dire que ça chante bien. Un brin de confiance en soi semble prendre forme… Une heure vingt plus tard lestés de deux musiques, une berceuse cosaque et un chant pour la Paix (sur un très beau texte de Romain Rolland) nous reprenons notre route vers le panorama du Gratteris. À peine plus loin que la chapelle, les villageois ont construit une caborde en pierre sèche, rappel patrimonial du passé viticole du lieu. La fin des travaux semble proche. Nous suivrons alors la crête qui domine le plateau de Mamirolle sur la via Francigena. Notre halte au panorama permet à Marie-Pierre de nous faire  sonner onze heure pour les habitants du Gratteris qui n’ont ni coq (il est mort) ni clocher. Un canon connu de tous qui sonne juste du premier coup. La partie randonnée est lancée, nous suivrons encore la crête jusqu’aux faubourgs de Mamirolle, on entend nettement la quatre voix (heu non, la quatre voies). Un joli sentier à plat sur la courbe de niveau des 600m nous converti à la file indienne et nous évite un dénivelé supplémentaire. Les pauses au soleil réchauffent, mais c’est la dernière montée vers le sommet de la côte qui définitivement nous fait quitter la veste supplémentaire. Il est l’heure du casse-croûte. Un coin de bois troué par quelques rayons du soleil, quelques troncs, une souche feront l’a aire. Quelques « canons » ferons le tour du groupe merci Alain merci Jojo, décidément une journée sous le signe du canon. Pour faciliter la digestion et éclaircir les voix nous chantons une histoire farfelu de mouettes, de pigeons, de goélands et de goépiques. N’importe quoi ! Nous reprenons le chemin vers Trepot, nous basculons sur l’adret de la côte, la pente est douce, nous trainons les pieds dans les feuilles mortes comme les enfants. En bas de la pente, le sentier s’élargit bien à plat, la lumière est belle. Une nouvelle halte chant y est improvisée. « Quand la nuit se pose ». Je n’ose imaginer ce qu’auraient pensé d’autres randonneurs, s’ils nous avaient vu là, chanter en marchant en rond dans ce sous-bois. Toujours est-il que le plaisir de réussir ce nouveau chant enchante le groupe. Nous sommes vraiment canon ! c’est Véronique qui nous complimente (toujours le mot pour rire). Reprenons la marche vers l’église de Trepot. Un peu de macadam pour rejoindre le centre du village. Les portes sont grandes ouvertes, j’aurai l’occasion de remercier le sacristain. Le lieu à besoin d’être aéré, le salpêtre se dispute à l’encens ! Jojo et MariePierre nous font découvrir trois nouveaux chants. Un dynamique chant de marins de Lorient, puis un canon « musica, musica » plein de finesse musicale et enfin un « Pas d’Argentine », pas chaloupés qui nous fît tanguer un peu, quand il fallut tenter de le faire en canon.  Nous lâchons cette froide église pour le soleil de fin d’après-midi, un chemin blanc droit vers le couchant pour rejoindre Foucherans. Là aussi les portes sont grandes ouvertes, d’ailleurs nous apercevrons la personne dévouée qui nous a ouvert, l’occasion de remercier. A-t-il apprécié nos chants ?  C’est l’occasion d’une synthèse, nous reprenons et peaufinons trois chants. Essayions d’enregistrer. Indéniablement, nous progressons, c’est plus précis, c’est plus ample, on se détache peu à peu des partitions et des textes. Bien sûr il resterait encore des ajustements à faire. Mais on peut être fier, ça sonne bien. Une belle journée d’automne, un beau moment de partage et de culture. Une joie perceptible d’avoir eu la curiosité de tenter cette expérience. Tout le monde a donné et reçu en échange. C’est Chouette ! Dominique
Foucherans en chantant - 16 octobre
"Que dire de cette sortie dont la distance annoncée s’est révélée pile exacte, le dénivelé également, hormis la météo vendue clémente qui s’est bornée à être finalement nuageuse puis bruineuse ?
 
Certes on a bien traversé de part en part le bois de Faule comme prévu, parfaitement entretenu entre chênes centenaires et charmes remarquables, parsemé de champignons variés dont l’Helvelle automnale et autres bolets et ceps tardifs puis quelques annamites plus ou moins hallucinogènes ou toxiques dont la plus redoutable ; la phalloïde examinée sous toutes ses coutures et in fine, un clitocybe nébuleux primeur que d’aucuns appellent “petit-gris”.
 
Oh bien sûr, un errement s’est produit avec la visite manquée du Gouffre des Sarrons, cité au départ comme remarquable.
Il faudra y revenir...
 
Merci aux 18 accompagnants de l’animateur du jour, tellement heureux de retrouver les sensations de la randonnée en groupe.
 
A bientôt dans d’autres contrées.
 
Gérard. "
Nancray - 9 octobre
Partis à 27 pour cette petite rando d’à peine 7 kilomètres, et 125 m de dénivelé sans difficulté majeure excepté un « petit raidillon » donnant un peu de piment à l’aventure.
Après un instant de cafouillage entre parking sur place et itinéraire de démarrage, la troupe s’élance sur une route légèrement pentue, hélas goudronnée, mais nous n’y avons vu aucun véhicule. Assez rapidement nous empruntons un chemin caillouteux qui nous conduit au bois Vaugrenans.
Le terrain est souple, agréable à marcher, avec un tapis de feuilles, avec le soleil tamisé par les arbres encore bien feuillus, laissant paraitre ici ou là les premières couleurs d’automne. Une image pleine de sérénité.
Entre chemins larges ou étroits, quelques pièges de racines émergeantes, nous traversons un petit ruisseau sur des ponts de fortune en toute sécurité, même si ce ne fut pas sans appréhension pour certains.
Clou de la balade, comme il se doit en fin de parcours, nous abordons le petit raidillons évoqué plus haut, mettant en avant l’entraide, les uns poussant, les autres tirant, afin que chacun franchisse l’obstacle sans dommage.
Nous terminons notre périple en longeant le canal pour rejoindre nos véhicules.
Merci à Christian H, serre-fil du jour.
 
JLouis
Routelle Bois de Vaugrenans - 13 octobre
23 participants au départ de Chiprey. La 1ère partie du circuit se fait sur un chemin valonné le long des méandres du Lison, entouré de hautes falaises. Arrivés à une passerelle en bois, nous abandonnons le Lison pour le ruisseau de Vau en suivant un sentier au creux de ce val sauvage. Encore un peu de dénivelé et nous arrivons au village d'Eternoz pour la pause déjeuner. Puis, une petite bruine nous invite à continuer notre chemin, direction la fontaine de la Brue. Petite pause avant de se diriger vers un sentier qui nous amène vers une corniche avec point de vue sur les Gorges sauvages du Lison suivie des fameux Chandeliers, hautes et massives colonnes de pierre dues à la magie de l'érosion par l'eau. Le circuit se termine tranquillement à travers la forêt.
 
Nous avons parcouru 14,5 kms pour un dénivelé d'environ 300 mètres.
 
Merci au sympathique groupe, à Patrice serre-file et à Philippe pour son prêt de k-way !
 
Dominique D.
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Chiprey - Circuit des Chandeliers - 9 octobre
25 randonneuses randonneurs au départ du circuit du fort des Epesses. Sans difficulté particulière
nous avons pu emprunter des chemins propres et larges permettant au groupe de pouvoir échanger
tranquillement tout en marchant.
Petits commentaires furent donnés sur l’historique des forts et batteries de la zone de Montfaucon.
Merci aux randonneurs pour la bonne humeur partagée.
 
Christian
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Fort des Epesses - 6 octobre
20 personnes au départ du Mauzenet petit hameau au dessus des Fins, il fait zéro degré.
Nous traversons le bois de Suchaux,
Passons au petit Caillet et remontons par le bois du Fol pour arriver au lieu dit les Teures, et ensuite cheminer sur un sentier escarpé jusqu,au belvédère sous le Mont Vouillot.
Belle vue sur Morteau, le jura et l,endroit est idéal pour pique-niquer.
nous contournons le Mont et passons chez Fraichot d, où un autre point de vue est tout aussi beau,retour au parking, la journée se terminera sur une terrasse aux Fins.
Merci à Patrice serre file.
13,5 km 360m dénivelé
 
Jojo
Pas de paysages époustouflants, pas de vues à couper le souffle, pas de patrimoine à visiter, pas de curiosités remarquables.
Seule l'idée de marcher sous le soleil d'automne en bonne compagnie a motivé les 33 randonneurs rassemblés autour de l'église de Pin pour un parcours de 11 kms dans la campagne haute-saônoise.
Merci à Dominique serre-file du jour.
Amicalement
Patrick
Pin - 2 octobre
Les Fins - Mont Vouillot - 2 octobre
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